Celui qu'on ne voit pas – Mari Jungstedt
(Den du inte ser, 2003)
Plon, 2007, 360 pages
Traduction de Maximilien Stadler
Après s'être
disputée avec son compagnon lors d'une fête dans leur maison de campagne,
Helena Hillerström sort promener son chien le long de la plage. Bientôt, cernée
par un épais brouillard, elle sent qu'on la suit. Quelques heures plus tard,
elle est retrouvée morte, tuée à coups de hache. Le commissaire Anders Knutas
et son équipe mènent une longue et difficile enquête sous la pression des media.
Ce livre est
le premier d'une nouvelle série de polars. C'est plutôt sympathique bien que
pas exceptionnel. On pense à une série policière télévisuelle : les personnages
sont attachants mais l’histoire n’a rien de mémorable.
S’il ne
présente rien d’original quant à l’histoire, le livre est intéressant d'un
point de vue culturel.
Le point de
vue des policiers et celui des journalistes se croisent et c'est justement cela
qui donne à ce livre ce côté « série télé ». Pourtant ce n'est pas
désagréable à lire mais l'aiguillon de la curiosité n'est pas franchement
présent.
C'est un bon
petit polar comme certains en lisent régulièrement qui trouvera son public sans
effort même si pour moi cela reste une lecture d'ultra-détente.
Ce livre m’a été transmis par l’éditeur.