Ce
recueil de nouvelles est essentiellement constitué de textes sur la vie de
couple et plus particulièrement sur les ratés, la solitude à deux : le couple
qui ne se parle plus, celui qui essaie de sauver les apparences, le mari
adultère qui se convainc qu’il est blanc comme neige car il rentre tous les
soirs retrouver bobonne et les mioches, la femme entretenue suite au départ de
son mari et qui devient de moins en moins exigeante dans le choix de ses
amants, l’attente devant le téléphone qui ne sonne pas,…
Tout cela représente un ensemble de scènes pathétiques (et cela d’autant plus qu’elles sont diablement réalistes) où l’amour et le couple n’ont pas grand chose à voir l’un avec l’autre. Elles témoignent d’incompréhensions et d’un certain désenchantement lié en partie au train-train qui tue peu à peu l’amour initial.
Etant donné la vie sentimentale de Parker, on imagine facilement qu'elle fut sa principale source d'inspiration. Mais chaque personne dotée d'un sens de l'observation retrouvera dans ces textes des situations observées (ou vécues).
Tout cela représente un ensemble de scènes pathétiques (et cela d’autant plus qu’elles sont diablement réalistes) où l’amour et le couple n’ont pas grand chose à voir l’un avec l’autre. Elles témoignent d’incompréhensions et d’un certain désenchantement lié en partie au train-train qui tue peu à peu l’amour initial.
Etant donné la vie sentimentale de Parker, on imagine facilement qu'elle fut sa principale source d'inspiration. Mais chaque personne dotée d'un sens de l'observation retrouvera dans ces textes des situations observées (ou vécues).
Ce recueil inclut également deux nouvelles sur le thème du racisme
envers les Noirs ; elles sont particulièrement réussies dans la mise en
valeur de l’hypocrisie des « gens biens ». La plume est à la fois légère
et incisive et c’est un régal. Parker milita pour la défense des droits des Noirs et légua ses biens à Martin Luther King Jr.